

Créées en 2005 autour d’innovations numériques, les éditions Scrineo ont fait le chemin inverse de la tendance, en allant vers le papier, convaincues que le livre était le meilleur vecteur des idées, bien supérieur à Internet pour développer une réflexion.
Dès 2006, nous lancions nos premiers essais et documents sous le label Les carnets de l’Info, avec une réflexion sur la transmission et la mémorisation de l’information. C’est dans cette démarche que nous avons lancé en 2013 la revue l’éléphant, la seule revue de culture générale – c’est-à-dire traitant de tous les thèmes du savoir, les sciences, l’histoire, la littérature, la philosophie,…- en focalisant sur la mémorisation des connaissances (travaux menés avec le LEMC de l’université Lyon II) ; cette revue rencontre un succès croissant et son tirage est passé de 20 000 exemplaires en janvier 2013 à 40 000 ex aujourd’hui.
Le livre est aussi le lieu de l’émotion.
Depuis 2010, Scrineo se développe sur cet axe. La littérature. Littérature de genre, dans un premier temps, avec des auteurs exclusivement francophones. Pari un peu fou, alors que les traductions de l’anglais dominent largement ce secteur.
Leurs thrillers ont tous été finalistes de prix, et quelques-uns lauréats (dont Contractors, prix Intramuros du festival de Cognac).
Leurs romans pour la jeunesse et les jeunes adultes, également récompensés par des prix prestigieux (Imaginales en 2013, Incorruptibles en 2012, Elbakin.net, Oriande, etc…) sont souvent couronnés de succès en librairie (plus de 50 000 exemplaires vendus pour Les Hauts Conteurs, 20 000 pour Le Livre de Saskia, 15 000 pour Le Puits des mémoires, qui deviennent des séries de référence de l’imaginaire français).

C’est ainsi qu’entrent en scène trois personnages venus des quatre coins du monde (et surtout des autres séries de Gabriel Katz) : une maîtresse de guerre, un gladiateur de haute volée et… un beau gosse qui ne sait pas très bien comment il s’est fait entraîner là-dedans.

Il y a dix ans, Faolan, fils du chef de clan déchu, a assisté au massacre de sa famille. Sauvé par le fils du chef victorieux, Torok, il est depuis lors son esclave et doit subir ses fantaisies perverses. Sa seule perspective d’avenir est de participer à la compétition de « l’homme-oiseau », afin de renverser l’équilibre des pouvoirs en place et de se venger.
Qui du maître ou de l’esclave va remporter la bataille ? Quel enjeu pour les habitants de l’île ? Quel est le prix à payer pour la victoire ?


Capturés et jugés pour tentative de meurtre, les trois amis sont condamnés à ingérer un parasite qui va les transformer en « berserkirs ».
Au bout de sept jours de lente métamorphose, ils seront devenus des hommes-bêtes, et leur raison s’abîmera dans une rage inextinguible. Le temps de cette transformation, ils sont enfermés dans Hadarfell, un ancien royaume abandonné, dont le passé et l’histoire ont été engloutis par le temps…

// Attention, cette chronique – et le synopsis – contiennent de GROS spoilers sur le premier tome ! //
Déchirée par les luttes de pouvoir, la plus grande cité du monde est au bord de la guerre civile. Le culte millénaire de la Grand déesse, menacé par celui d’Ochin qui se répand comme un raz-de-marée, n’a plus qu’un recours : la violence. Entre complots, combats et trahisons, chacun lutte pour sauver sa place et parfois sa vie…

Alors que son désir de vengeance augmente, Vaïn se convainc que la Nature l’a sauvé de la mort pour éliminer son frère et sa descendance maudite… une traque terrible et périlleuse commence… Elle durera des siècles.
La quête du Premier Immortel depuis la fin du néolithique jusqu’au début de Rome.

Parfois, il vaut mieux ne pas revenir...
